Imagine un peu les humains de demain
Imagine un peu les humains de demain, les enfants de nos enfants, rire de notre temps… et raconter à leurs jeunes adultes l’insensé que nous vivons, nous, aujourd’hui :
“Au début du XXIème siècle, l’immense majorité de la population percevait la réalité au travers de ses pensées ou de ses raisonnements bien plus qu’au travers de ses perceptions sensorielles.
Les aliments étaient creux, vides de substance et de saveur, tout juste bons à faire cesser la sensation de faim – à tel point qu’on en mangeait trop, parce qu’on sentait bien qu’il manquait quelque chose.
L’éducation des enfants consistait principalement à les discipliner afin qu’ils cessent d’expérimenter par eux-mêmes et deviennent des récipients de croyances et de savoirs. Ils appelaient “âge de raison” ce moment où l’enfant cesse d’accorder de l’importance à ce qu’il ressent ou à ce qu’il vérifie par lui-même, pour privilégier ce qu’on lui enseigne.
Les adultes étaient d’accord pour vendre leur temps et louer leur corps, leur intelligence, leurs savoir-faire, à des entreprises qui vendaient toujours davantage de produits inutiles.
Puis pour consommer en masse ces produits qui les divertissaient du vide de leur vie.
Ils étaient avides, à-vide.
Producteurs sans joie et consommateurs insatisfaits.
Et leur société reposait sur cette insatisfaction, sur ces souffrances, car la croyance la plus nécessaire à cette société, c’était de produire toujours plus.
Des exemples ?
- Les entreprises les plus puissantes étaient aussi les plus nocives : ce qui comptait pour les évaluer, c’était leur “rendement”, pas leur utilité !
- Leur système de santé avait intérêt à ce que les gens soient malades, car c’est ce qui rendait ses entreprises prospères !
- Le critère le plus important dans l’évaluation d’un humain, d’une entreprise ou d’un Etat, c’était ses possessions, ou sa capacité à “faire du profit” !
Apparemment, ils ne s’en rendaient pas compte… La souffrance et le déni de soi étaient des vertus très utiles pour le maintien de l’équilibre.
Ils n’avaient même pas l’idée d’être heureux, de vivre en harmonie, et ils écoutaient avec ferveur leurs dirigeants les effrayer avec des guerres qu’ils inventaient. Pourtant on savait déjà à cette époque que désigner un ennemi commun est la plus simple façon de rassembler les populations.
Et ce sont ces humains apeurés et frustrés, gavés de désirs inutiles, oublieux de leurs propres besoins et prêts à croire toute parole “autorisée” tant ils étaient en attente d’un sauveur, qui ont – on se demande comment – réussi ce tour de force : faire le premier pas vers ce que nous vivons aujourd’hui.
Ce qui en dit long, malgré tout, sur la richesse de nos ressources, sur nos capacités incroyables d’êtres humains.
Ce qui nous parait aujourd’hui évident était sans aucun doute pour eux hasardeux, inexplicable, courageux.”
Tu les entends s’étonner de ce que nous vivons aujourd’hui ?
Tu imagines leur monde, leur “présent” – notre futur ?
Il sera celui dans lequel nous nous investissons.
Ce nouveau monde, et son nouveau paradigme, je le vois délivré du manque et de l’avidité, les deux émotions qui sont les piliers de notre société de consommation.
“Follow the money” disent les américains, comme une boutade pour trouver des réponses à ce qui n’en a pas d’autre : l’argent, ou plutôt le profit, est devenu la réponse à de nombreuses questions. Et c’est cette course au profit qui prend la place de notre lien avec le vivant… et avec nous-mêmes.
C’est drôle (ou pas…) comme cette crise me donne surtout l’impression de nous montrer ce qu’il faut changer :
être, créer, ralentir, au lieu d’avoir, réagir, accélérer.
On pourrait rêver de passer au mode adulte de l’humain : quitter nos fantasmes d’enfants capricieux et apeurés.
Cesser avec les caprices d’immortalité, de contrôle absolu, de toute puissance, de possession infinie et jamais comblée, qui nous sont “vendus” par nos “leaders”.
Descendre de notre cerveau pour venir goûter à la vraie vie, à notre corps, à nos ressentis, à nos rêves d’adultes et à notre responsabilité envers eux.
En prendre soin.
Ma façon à moi de contribuer, c’est d’investir mon énergie à cette transformation de la relation à l’argent. C’est un levier prodigieux.
C’est de t’accompagner à changer la place de l’argent dans ta vie. Il y a tant à faire 😉
Changer la place de l’argent dans ta vie, c’est en prendre la responsabilité. Je sais, c’est un gros mot pas très vendeur.
Je m’en fous.
J’en ai assez de faire des périphrases.
Et tu verras que plus tu acceptes de la prendre, cette responsabilité, plus tu gagnes en liberté, en conscience de ta valeur, de tes richesses et de ta place dans le monde.
Et le monde a tant besoin de toi !
De ta valeur unique, de tes forces rassemblées, dressées, pour construire de nouveaux liens, de nouvelles histoires, un nouveau paradigme.
Toi qui fais partie des personnes éblouissantes, talentueuses, d’une richesse unique, qui pourraient me dire en séance : “mais qui je suis, moi, face à l’immensité de la tâche ? C’est tout petit ce que je fais !”
Le monde a tant besoin de toi !
Pourquoi crois-tu que tu es sur cette Terre ?
Viens construire “à coté” et non pas “contre”,
viens prendre ta place !
Alors, si tu veux vivre de ce métier que tu aimes, développer ton activité, tes offres, tes rémunérations,
si tu veux que tes honoraires t’honorent,
je te propose d’apprendre à t’en servir,
d’aller à la rencontre de ce qui est aujourd’hui dans l’ombre et de t’en libérer.
J’avais besoin d’une pause – oui – pour me sentir stable, curieuse, amoureuse, sereine, engagée, disponible.
Pour offrir le meilleur et dans les meilleures conditions.
J’avais besoin de recadrer, pour moi aussi, un essentiel : je construis un groupe de personnes déterminées, passionnées, sincères.
Engagées.
Je ne veux pas te convaincre.
C’est toi qui sais si c’est le bon moment pour toi, ou mieux : si ça ne peut plus attendre !
Je ne vais pas aller titiller ton avidité ou tes peurs, surenchérir, faire des tarifs early bird, t’offrir des bonus.
Je propose afin de rencontrer ton désir.
C’est un accompagnement vers un autre mode d’être au monde.
Si tu sens que tu c’est ça qui t’appelle, du fond des tripes, urgemment, prends un RV avec moi et on en parle.